Armel Ferryse Ndjegou Mickala : un parcours pris en étau entre soutien populaire et haine destructrice

Armel Ferryse Ndjegou Mickala, ancien activiste social engagé dans la défense des jeunes commerçants gabonais et de la lutte contre la cherté d’Internet, a toujours été un symbole de résistance face aux difficultés économiques et sociales du pays. Il a fait face à des menaces, des tentatives de corruption et même des incarcérations, mais n’a jamais fléchi dans son combat. Grâce à ses efforts, les Gabonais bénéficient aujourd’hui de forfaits Internet considérablement augmentés, un acquis qu’il a arraché avec l’appui de la population.

Cependant, depuis sa nomination en tant que conseiller du Président auprès du Ministre du Commerce et des PME, Armel Mickala fait l’objet d’une campagne de dénigrement, alimentée par des voix jalouses et haineuses, souvent dissimulées sous les masques de « pseudo-activistes ». Ceux qui l’avaient soutenu dans le passé, aujourd’hui, le qualifient de « vendu » et l’accusent de trahir la cause qu’il a défendue. La même haine gratuite s’exprime envers un homme qui a risqué sa vie pour le bien de la société, prouvant que son engagement était authentique et désintéressé.

Le paradoxe est frappant : ceux qui ont profité de ses combats sont les premiers à le critiquer dès qu’il prend des responsabilités, tandis que ceux qui l’accusent, qui n’ont pas pris la peine de s’engager pour les causes communes, restent silencieux face aux véritables enjeux du pays. M. Le conseiller, désormais en poste, représente l’incarnation d’un Gabonais qui s’élève malgré les obstacles et les attaques sournoises. Mais au lieu de lui souhaiter réussite, les voix qui l’attaquent par derrière témoignent d’une société marquée par la jalousie et la peur du changement.

Dans cette dynamique, il incarne une jeunesse gabonaise déterminée à transformer son pays, à apporter des solutions réelles et visibles, mais confrontée à une résistance aveugle. Loin d’être un « vendu », il est au contraire le reflet d’une volonté sincère de servir son pays, malgré les attaques, les haines et l’incompréhension.

Wilfried BOUROBOU