Le ministère de l’Éducation Nationale, de la formation professionnelle, chargé de la formation civique reconnaît que les disparités dans les coefficients actuels peuvent entraîner des déséquilibres significatifs dans les résultats des élèves. Par exemple, des matières comme les mathématiques ou le français, souvent dotées de coefficients élevés, peuvent disproportionnellement affecter la moyenne générale d’un élève, augmentant ainsi le risque de redoublement.
En harmonisant les coefficients, le ministère opterait pour une approche plus holistique de l’éducation, où chaque matière contribue de manière équilibrée à l’évaluation globale. Cette réforme pourrait non seulement réduire le taux de redoublement, mais aussi motiver les élèves à s’investir de manière égale dans toutes les disciplines.
L’objectif est clair : offrir à chaque élève une chance équitable de réussite, en s’assurant que leur progression ne soit pas entravée par des évaluations inéquitables. Cette mesure est donc primordiale , pour améliorer la qualité de l’enseignement et favoriser une meilleure rétention des élèves dans le système éducatif gabonais.
WB